« Depuis l’enfance, j’aime l’inconnu, le mystère, le prodige, l’étrange, ce qui exhale et exalte l’être… ce qui nous est caché.
Je passais des heures étendu sur le ventre à regarder les milliards de vies qui, dans la forêt des herbes, vivent sans se soucier de nous, puis sur le dos à voir les cieux immenses s’ouvrir et se fermer.
Je peins les corps sauvages et sages qui n’obéissent qu’à la lumière… des cieux et à l’ombre des forêts. »
— Anora Borra
Atrium Culture, Cours de Verdun, Dax, France